Pour Parkinson Suisse, les groupes d’entraide représentent un pilier essentiel du travail au profit des parkinsoniens et de leurs proches. Aujourd’hui au nombre de 80 et répartis dans tout le pays, ils contribuent sensiblement à l’action de l’association sur le terrain, par exemple en organisant des rencontres et des échanges sur les problèmes quotidiens. Il y règne une atmosphère conviviale propice à la communication. L'adhésion à un groupe d'entraide est gratuite.
Parkinson Suisse encourage la création de groupes d’entraide régionaux dans toute la Suisse et les soutient depuis 1985. L'association est un partenaire fiable pour les groupes d'entraide et leurs membres.
Pour conserver une bonne qualité de vie malgré le Parkinson, il est essentiel d’entretenir les contacts avec d’autres personnes concernées, avec son conjoint ou sa conjointe et avec les membres de sa famille. L’échange entre les partenaires de vie et les proches de parkinsoniens peut s’avérer très bénéfique. Au sein des groupes d’entraide, l’on apprend à gérer la maladie de manière proactive grâce au dialogue. L’expérience de la communauté est positive, car elle réduit le risque d’isolement. Il est bon de savoir que l’on n’est pas seul face à la maladie.
En règle générale, les rencontres des groupes d’entraide ont lieu une à deux fois par mois. Les groupes sont basés sur le principe du volontariat et de l'autodétermination.
Parkinson Suisse compte actuellement cinq types de groupes d'entraide. La composition d'un groupe est laissée à la discrétion des initiateurs. Depuis la fondation des premiers groupes d'entraide de Parkinson Suisse, les types de groupes suivants ont été créés :
Parkinson Suisse propose un large éventail d'activités : séances d'information, cours et vacances de Parkinson.
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Devenir membreN’hésitez pas à nous contacter. Nous vous aiderons à franchir avec confiance toutes les étapes de l’organisation d’un groupe d’entraide.
E-MailDie Bischofszellerin Marie-Claire Hug-Schöni trotzt ihrer Erkrankung. Ihre Erfahrungen teilt sie in einer Selbsthilfegruppe.
Artikel in St. Galler Tagblatt, Februar 2024
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